Frangipanier roman 2eme volet celestine hitiura vaite

Ce roman est le second de la trilogie de Materena (après «L'Arbre à pain» en 2000 réédité en 2006, et «Tiare», en 2008). On y retrouve la foule des petites gens de la périphérie de Papeete qui ont fait le succès de «L'Arbre à Pain», mais le livre est cette fois centré sur les relations entre Materena et sa fille Leilani, laquelle est bien décidée à se libérer et à libérer sa mère, par la même occasion, des pesanteurs assez machistes de la vie tahitienne...

Celles et ceux qui ont vécu la vie polynésienne retrouveront les couleurs, les senteurs, les sourires, et les petis détails de la vie quotidienne...

Couverture Souple avec 2 rabats - Livre broché - 340 pages

Dimensions :  13,0 cm × 21,0 cm × 2,5 cm . Poids : 0,6 kg.

Frangipanier © Célestine Hitiura Vaite – Éditions Au Vent des Îles 2020 - 1 ère édition

Fondée par Christian Robert en 1991, Au Vent des Îles est une maison d’édition basée à Tahiti, l’une des plus actives aujourd’hui en Polynésie. Elle possède un catalogue d’auteurs de littérature du Pacifique unique en son genre. Ses différentes collections contribuent à mettre en avant les différentes facettes de cette région, tout en prenant soin de sortir des clichés et des lieux communs, et ainsi de faire découvrir les trésors d’une culture peu connue et le quotidien tel qu’il se vit dans le Grand Pacifique. Du roman polynésien au beau livre d’images, faites votre choix !

Frangipanier a été sélectionné à la fois pour les New South Wales Premier’s Literary Awards en 2005 et le Orange Prize en 2006.

Célestine Hitiura Vaite est une romancière tahitienne née à Papeete en 1966. Elle est devenue un véritable phénomène international en littérature et ses oeuvres sont traduites dans toutes les langues. Bien qu’elle soit née et qu’elle ait été élevée à Tahiti, Célestine écrit en anglais depuis qu’elle s’est installée en Australie avec sa famille. Elle pense et prépare ses textes et ses dialogues en français, puisque ses personnages tahitiens parleraient français s’ils faisaient partie du réel, et traduit ensuite le tout en anglais. La voix narrative, elle, lui vient directement en anglais. Pour Célestine, cette technique la force à penser réellement à ce qu’elle écrit et ainsi à se concentrer sur le rythme de l’histoire. Elle écrit en anglais avec une candeur et un humour étonnants. Traduit pat Henri Theureau.